22 janvier 2009

Un perroquet interdit de stade

En imitant le bruit du sifflet de l’arbitre, un perroquet a semé la panique parmi les joueurs
et les spectateurs d’un match de foot en Angleterre.



Ce perroquet a semé la panique lors d'un match de football. Il imitait le sifflet de l'arbitre.

Ces faits inhabituels dans l’enceinte d’un stade se sont déroulés samedi dernier lors de la rencontre entre les clubs de football britanniques de Hatfield Town et Hertford Heath. Les deux équipes s’affrontaient en quart de finale de la «Hertfordshire Centenary Trophy.»

La présence de l’animal parmi les spectateurs n’a eu aucune incidence lors de la première mi-temps du match. C’est lors de la deuxième que tout s’est gâté. Le volatile a commencé à imiter le bruit du sifflet de l’arbitre en créant la confusion parmi les joueurs et les spectateurs.

Obligation de quitter le stade

«Je n’avais jamais vécu ça de toute ma carrière footballistique. C’était un match très important et il y avait pas mal de monde. Cette femme se tenait derrière la ligne de touche avec une cage abritant un perroquet. Au début, je n’ai pas fait attention. Mais ensuite, à chaque fois que je soufflais dans le sifflet, l’oiseau faisait exactement le même son», a déclaré l’arbitre de la rencontre Gary Bailey au quotidien Telegraph.

Le perroquet a obligé l’arbitre a interrompre le jeu plusieurs fois avant qu'il ne soit demandé à la femme et son animal de quitter le stade.

Le match a repris et c’est finalement Hatfield Town qui s'est imposé par 5 à 2, ce qui lui a permis d'accéder aux demi-finales...

Le 28 octobre 2008

           Escapade de Coco le gris du Gabon de Odette et Daniel de Phalsbourg


    

Coco, quittant son éleveur  alsacien,  est entré dans notre vie dès  l'âge de 4 mois. Il s'est très vite familiarisé à sa nouvelle vie, se posant immédiatement sur mon épaule, comme si nous nous étions toujours connu, le coup de foudre!  Jamais avare de bisous et de câlins. A 5 mois, à notre grande surprise,  il articulait  ses premiers mots tout à fait audibles. Il acceptait que mon mari le porte, mais n'hésitait pas  à le mordre en traitre  de temps à autre,  le voyou !

Souhaitant  que Coco puisse m'accompagner librement dans le jardin, pour ce faire ; il n'y avait,  à mon sens, qu'une solution : lui rogner une aile. M'instruisant sur la technique de coupe dans divers bouquins, je me suis lancée, l'intervention s'est plutôt bien passée et à l'observation,  il me semblait que Coco était suffisamment invalidé pour ne pas voler très loin.

Un beau samedi de Mai, veille de la fête des mères, je me suis aventurée avec Coco sur l'épaule, dans le jardin. Nous goûtions tous les deux la joie d'être ensemble, dehors, au soleil, c'était formidable.

En un clin d'oeil, voilà Coco qui prend son envol, et quel envol, c'est magnifique un vol de perroquet, sa queue rouge flamboyant dans le soleil, il montait, montait, a fait demi tour se dirigeant vers l'arrière de la maison, vers les vergers environnant, je l'ai suivi du regard, incrédule, et puis l'ai finalement perdu de vue.

Totalement anéantie, il fallait réagir au plus  vite. Mon mari et moi avons alerté notre entourage, mis l'avis de recherche dans un maximum  de boites aux lettres, avisé notre Véto, avons fait passer des annonces dans les journaux locaux, et puis nous battions la campagne jusqu'à la tombée de la nuit, hélas sans succès! Pourtant, miracle! Le dimanche soir de la fête des mères on nous avisé  que Coco  se trouvait  à la cime d'un très grand arbre, sur le parking de l'inter-marché situé à 400 M de chez nous .Arrivés sur les lieux, nous l'avons appelé, appelé, Coco frémissait des ailes, mais impossible de le déloger, que faire?? D’autant que la nuit allait tomber. Les pompiers avec leur grande échelle sont venus à la rescousse, alors là;  la catastrophe! Coco, affolé,  s'est envolé à tire d'ailes en poussant de grands cris. Nous étions désespérés,  après l'immense joie de l'avoir retrouvé, avec l'espoir fou de le récupérer, nous ne pouvions nous résoudre à le perdre une deuxième fois, c'était trop dur! Deuxième nuit d'angoisse et de tristesse. Nuit pluvieuse, 7°, nous craignons pour sa santé. Après quatre nuits blanches, l'espoir de le retrouver nous quittait, et puis le mercredi en milieu d'après midi, le coup de fil miraculeux du véto nous invitant à venir récupérer notre Coco.

Quel coup au cœur, en un clin d'oeil mon mari était chez le véto, Coco, dès qu'il l'a vu, s'est empressé de se poser sur son épaule. Il était amaigri (tout léger) le bec en permanence entre ouvert, à vrai dire assez mal en point.

Notre Coco,  affamé, était allé  crier "au secours " en se posant dans la cour d'une maison, a environ 3 kms de chez nous, là  où se trouvait un labrador noir, identique à notre labrador noir Jina, une dame est sortie, lui  a tendu la main , notre Coco a grimpé sur son bras, sans crainte, elle est rentrée  dans sa maison,   lui a donné  une pomme qu'il a grignotée, puis ayant vu les annonces,  elle  l'a conduit chez le véto.

Une fois à la maison, nous avons longuement réchauffé Coco, nous étions très inquiet pour sa santé, il semblait très affaibli, allait-il survivre? Ce fût encore une nuit mêlé de joie et d'inquiétude, le jeudi matin au réveil,  quelle ne fût pas notre surprise en découvrant un Coco en bien meilleur état, sifflant, plus tonique.

Cette escapade a profité  à mon mari, car,  de ce jour, ils sont devenus les meilleurs amis du monde, Coco avait changé de partenaire, il est devenu "le bon Coco de papa" c'est ce qu'il dit, et moi je suis passé en second plan, mais  quelle importance ? Notre Coco est là et bien là!  Il nous comble chaque jour de bonheur. Pourtant c'est une aventure qui finit bien mais  que nous n'oublierons pas de si tôt!


Le 13 juin 2008

           Voilà l’histoire touchante de Zoé le gris du Gabon de Sylvie et Christian  


 Message que Sylvie et Christian m’ont envoyé sur mon livre d’or
 
J'ai souvent pensé à vous écrire car cela fait déjà un moment que mon mari et moi visitons votre site, régulièrement car nous ne nous lassons pas de regarder Kiwi, elle est vraiment extraordinaire... nous avions un perroquet gris du Gabon, elle s'appelait Zoé, nous l'avions depuis un peu plus de 2 mois et nous venons de la perdre, à cause de moi, car je n'ai pas été assez vigilante, je l'ai sortie sans l'attacher, en la prenant dans les mains comme je le faisais assez souvent, elle si craintive pourtant, avec une partie des ailes coupées, et puis d'un coup, elle m'a échappé, je l'ai vue s'envoler au loin, et je n'ai rien pu faire. Nous l'avons cherché pendant 2 jours, arpenté le champ de blé autour de la maison, mis des affiches chez les commerçants du village, sans résultats. Nous ne l'avions que depuis 2 mois, mais c'était notre bébé, les liens étaient très forts.. et le vide est immense, nous avons beaucoup beaucoup de chagrin.
Alors je me demande si nous devrions pas combler ce manque en en reprenant un. Nous sommes un peu partagés, et nous avons besoin de réfléchir un peu, mais nous avions acheté Zoé dans une animalerie, et nous n'avions pas de certificat de cession. Nous ne savions même pas si c'était un mâle ou une femelle. Alors aujourd'hui, si nous devions en reprendre un, nous aimerions que ce soit par un éleveur, mais nous n'en
connaissons pas. Pourriez-vous nous donner une adresse d'éleveur sérieux, nous habitons l'Aisne, mais nous serions prêts à faire le déplacement.
Ce serait très gentil de votre part, pourriez-vous également nous donner des nouvelles de Kiwi, et est-ce que vous avez votre Ara..
Merci d'avance pour votre aide.
Sylvie et Christian  

Bien sur comme à chaque message, je réponds à mes internautes, je leur ai donné une adresse pour aller chercher un gris du gabon.
et le 19 juin, SURPRISE !!!!! Sylvie et Christian m'écrivent

Bonjour Omadanielle,

Tout d'abord, je tiens à vous remercier pour votre sympathie et les coordonnées de votre éleveur que vous avez bien voulu nous communiquer...

Figurez-vous que Zoé est de retour, elle avait disparu le 10 juin, et vendredi 13, un coup de téléphone m'annonçait qu'on l'avait retrouvée. En fait, elle a été retrouvée dans un arbre (environ 20 à 30 m de haut)  qui se trouve dans le terrain de football municipal, ce sont des enfants qui ont réussi, grâce à leurs lancers de ballons, à lui faire quitter son perchoir, elle est allée se réfugier dans les filets du but, et là, l'entraîneur a lancé sa veste pour l'immobiliser. Il l'a ensuite confiée à un monsieur qui promenait son chien et qui lui-même avait déjà un gris du Gabon (incroyable!) c'est un petit miracle, car elle a quand même passé 2 nuits dehors! On était tellement heureux, et je crois que nous avons eu beaucoup de chance, nous comme Zoé, car nous avions déjà imaginé toutes les fins possibles qu'elle aurait pu avoir...

Comme quoi, il faut quand même espérer quand cela arrive..
Si vous le voulez bien, je vous donnerais des nouvelles de temps en temps..
Amicalement.

Sylvie et Christian  

Je remercie chaleureusement Sylvie et Christian de m'autoriser à publier leur histoire

Omadanielle

  Mai 2008
                                     
17 Mai 2008

Incroyable mais vrai, 

un perroquet volé dans un zoo néerlandais a été retrouvé en Belgique grâce à son cri.

C’est vraiment un voyage insolite que celui de cet oiseau ! Recherché partout en Hollande, c’est en fait en Belgique qu’il se cachait ou plutôt qu’il avait été caché…

C’est l’histoire d’un perroquet amazone à nuque jaune, disparu depuis deux mois du centre pour perroquets et autres perruches qui l’a accueilli aux Pays-Bas. Il manquait vraiment aux autres perroquets mais aussi et surtout à tous ceux qui étaient habitués à sa présence et à son cri reconnaissable à des kilomètres…

On ne manquera pas de noter que ce perroquet n’arrête pas de crier “I love you” dans des intonations très personnelles et de nombreux visiteurs viennent au centre rien que pour l’entendre dire ces mots d’amour.

L’oiseau a été retrouvé complètement par hasard par des individus en visite chez la famille belge qui en avait fait l’acquisition. Dès que l’oiseau s’est mis à dire le fameux «I Love you», le rapprochement a immédiatement été fait avec le perroquet dont la disparition avait été annoncée dans les journaux.

Comme le dit si bien l’adage, tout est bien qui finit bien.
L’oiseau a réintégré le Centre où il vivait avant l’enlèvement.
Pour ce qui est du voleur, il n’a malheureusement pas encore été identifié mais une enquête est actuellement en cours.


Un perroquet au secours d'un autiste

Il y a quelques temps, la famille a acheté un Ara (Ara ararauna), ce superbe perroquet originaire d’Amérique du Sud.
Prénommé Barney, notre Ara est doué de parole.

Quelle n’a pas été la surprise de la mère du jeune Dylan en entendant pour la première fois son fils articuler des mots.
Imitant Barney, Dylan est capable aujourd’hui de dire des mots simples comme Nuit, papa, maman, bonjour, au revoir.



Les spécialistes de l’autisme pensent que bientôt Dylan pourra prononcer des mots de deux syllabes.

Sa mère apprend au perroquet des mots et Dylan essaye de les répéter. Elle pense que l’articulation lente du ara aide Dylan à mieux assimiler les mots.

Leur vie a changé et s’est ensoleillée depuis l’arrivée de Barney. Aujourd’hui, la maman de l’enfant ne se lasse pas d’entendre son fils lui dire chaque fois qu’elle le met au lit :’Nuit, nuit, maman ».

Selon le thérapeute DR Roddham, il n’y a aucun doute que l’enfant imite l’oiseau. Pour une raison inconnue, cet animal a attiré l’attention du petit garçon alors que rien, jusqu’à présent, ne l’avait fait réagir au monde extérieur.  

Cette belle histoire est également un espoir pour d’autres familles. En effet, il est fort probable que des études soient menées afin d’essayer de communiquer avec les jeunes autistes.
Nul doute que les spécialistes n’en resteront pas là et tenteront, avec l’aide de perroquets, de briser ce mur du silence.


 
lundi 31 juillet 2006

Le perroquet appelait sa mère au secours, la police intervient

Un perroquet qui appelait sa mère à l'aide, pendant des heures, a déclenché l'intervention de la police de Coblence (ouest de l'Allemagne) à son domicile, a-t-on appris lundi auprès des services de secours.

Entendant des "Maman, Maman !", et croyant qu'un enfant se trouvait en difficulté, une vieille dame habitant dans le voisinage de l'appartement où se trouvait l'oiseau avait alerté les forces de l'ordre.

A leur arrivée dans l'appartement, les policiers ont fait connaissance avec un "perroquet parlant couramment l'allemand" et âgé de 25 ans, ont rapporté les responsables de la police de Coblence.

L'oiseau avait appris dernièrement le mot "maman" grâce à un enfant qui vit depuis peu dans l'appartement voisin.


 
Mon blog: La PDD mon combat
http://omadanielle.canalblog.com/